
EXEMPLE D’UTILISATION DES ARCHETYPES DE JUNG
Dans un précédent article, je vous ai présenté les 12 archétypes de Jung. Plusieurs personnes m’ont demandé d’expliquer comment je les utilise pour construire mes personnages, et il est temps de tenir cette promesse !
Je vais vous donner un exemple concret sur le personnage d’Elizabeth, l’héroïne de mon roman Byakko — Loving Tiger.
Mais avant ça, je vais vous expliquer mon approche personnelle des 12 archétypes de Jung. C’est une approche que je n’ai trouvée sur aucun des sites qui présentaient les archétypes.

LE SYNDROME DE L’OBJET BRILLANT EN ECRITURE
Vous êtes vous déjà plaint.e d’avoir une Muse trop versatile ? Avez-vous tendance à abandonner votre projet en cours dès qu’une nouvelle idée de roman se présente, parce qu’elle vous parait toujours beaucoup plus attirante et motivante ?
J’ai découvert il n’y a pas si longtemps l’existence du syndrome de l’objet brillant. Et par la même occasion que j’en étais atteinte !
Mais qu’est-ce que le syndrome de l’objet brillant, comment se manifeste-t-il en écriture et comment peut-on lutter contre ?
C’est ce que je vous propose d’étudier dans cet article.

DANS LES PAS DE… LIONEL DAVOUST
Lionel Davoust est tout autant un auteur acclamé qu’un « transmetteur » passionné. Il a accepté de répondre à mes questions autour de l’écriture, de ses débuts, de ses difficultés… Découvrez son interview inspirante !

RESSOURCE INSPIRANTE : HUMANS OF NEW YORK
Comment construire des personnages riches et diversifiés ? C’est une question qui apparait souvent dans notre parcours d’auteurices. Où trouver l’inspiration pour varier nos personnages, leurs histoires personnelles, les obstacles qu’ils devront surmonter ? Le conseil classique est d’utiliser notre expérience personnelle pour trouver cette inspiration : les personnes de notre entourage, celles que nous avons eu l’occasion de croiser à l’école, au travail, dans notre vie quotidienne. Sauf que… Déjà, nous pouvons nous sentir mal à l’aise à l’idée d’employer cette « matière » pour construire nos histoires, parce que nous sommes liés d’une manière ou d’une autre à ces personnes. Et c’est tout à fait légitime. Ensuite, il se peut que notre entourage ne nous paraisse pas assez riche en profils variés pour pouvoir nous fournir tous les personnages dont nous aurions besoin dans nos romans. Par exemple, à l'heure actuelle, de par mon parcours 80% de mes ami.es sont des ingénieur.es. Et de par...