Quand j’écris à la main, mon outil de prédilection est le critérium.
Les critériums ont (quasiment) tous une gomme intégrée (sinon ce sont des sous-critériums et ça ne devrait pas exister -_- ). Du coup, pas besoin de raturer pendant que j’écris, il me suffit d’effacer.
Je trouve aussi qu’ils me permettent une écriture rapide et fluide.
Et puis, bien sûr, pas besoin de taille-crayon. Deux petites pressions et, Hop !, on retrouve de la mine.
Bref, des critériums, j’en ai dispersé absolument partout pour être certaine d’en avoir toujours un sous la main et je ne pourrais plus m’en passer.
La majorité des critériums du commerce ont une mine 0,7 mm (c’est le diamètre de la mine) et c’est très bien comme ça. Mais, parfois, mon chemin croise par malheur la route d’un critérium à mine 0,5 mm (donc plus fine que les mines habituelles). C’est par exemple le cas des critériums qu’on nous fournit à mon travail. Les fourbes ont tout du critérium standard. Ils sont même élégants, avec un grip moelleux pour un meilleur confort de tenue. Seule une petite inscription « 0.5 » signale que ce sont en fait des traîtres…
Car je HAIS les mines 0.5 mm !
Peut-être ai-je une écriture manuscrite trop énergique (Qui a dit bourrine ?), mais je passe mon temps à casser les mines 0.5 mm. Ce qui devient vite insupportable quand j’ai ma mine qui explose en vol toutes les deux phrases !
En conclusion, si vous voulez me faire plaisir, offrez-moi des critériums. Mais si vous ne voulez pas que je vous maudisse sur quarante-deux générations, évitez les mines 0.5 mm !
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. ^.^
Je vous donne rendez-vous au prochain article pour un nouveau bout de chemin à arpenter ensemble.
D’ici là, écrivez bien !